
Gouverner, c’est prévoir.
Mais chez nous, aucune anticipation, aucun plan de prévention des conflits élaboré sérieusement par les autorités locales et validé par la hiérarchie. On attend que le sang coule, que des vies soient fauchées, puis viennent les éternelles visites officielles pour « faire la lumière ».
Mais à quoi servent les représentants de l’État sur le terrain si ce n’est pour prévenir, protéger et agir avant le drame ?
Il est temps d’arrêter ce théâtre habituel et changeons d’approche en adoptant une gouvernance basée sur la prévention, la responsabilité et la paix est possible. Il suffit juste de le vouloir.