le gouvernement marocain a choisi d’interdire le sacrifice traditionnel du mouton, invoquant des raisons économiques et climatiques.

Une décision qui passe mal, étant perçue comme une atteinte à la liberté de culte et à une tradition ancestrale, indiquent les les sources…
À Casablanca, les autorités ont saisi des raisons, provoquant des tensions:

Malgré les saisies, certains continuent de vendre des bêtes en cachette, signe d’une résistance populaire

Les forces de l’ordre se retrouvent en première ligne d’un conflit entre logique économique et attentes religieuses.

Tandis que la préservation du cheptel est un enjeu réel, des voix s’élèvent pour dénoncer une approche trop brutale et l’absence d’alternatives permettant de concilier tradition et nécessités écologiques.

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